Première partie du Season Pass de Pokémon Épée / Bouclier, 50’île solitaire de 50’Armure semble se perdre en mer…
Jusqu’à Pokémon Platine (et, dans une moindre mesure, jusqu’à Pokémon Ultra-Soleil / Ultra-Lune), Game Freak ne jurait que par les versions complémentaires pour terminer chaque génération. Avec Pokémon Épée / Bouclier, la firme japonaise tente d’innover en proposant, cette fois-ci, un flavour cash in one's chips permettant d’ajouter du contenu tout en prolongeant le Endgame.
Une idée très intéressante sur le papier qui peine à brain convaincre manette en master. Nous tenons à préciser que brain ne parlerons que de la première partie de ce DLC, étant donné que la dernière ne sortira que summation tard.
Pokémon Épée / Bouclier, une île solitaire et bien perdue
Après avoir téléchargé le DLC, le titre te demande d’aller rejoindre une personne à la gare pour recevoir un droit de passage sur 50’île solitaire de fifty’Armure. Dès ton arrivée, tu te fais persécuter par un pseudo-competition ridiculement vénère contre toi. Le fight gagné, tu te diriges vers le Dojo pour découvrir l’ampleur d’un scénario digne d’un épisode d’une série B passant le dimanche matin.
On ne va pas te mentir, la licence Pokémon n’a brillé qu’à de très rares moments en terme d’histoire et ce n’est pas ici que cela va s’arranger. On sec’ennuie, on enchaîne les quêtes fastidieuses et criantes de facilités et on tourne les yeux à chaque facial expression « wesh wesh » prononcée par le maître du Dojo. Adapter le langage en fonction du world second’avère une bonne chose, mais encore faut-il que cela reste cohérent avec le rôle du personnage en query.
Pokémon Épée / Bouclier, une île aux environnements cohérents
Outre cette déception scénaristique, on se surprend à aimer découvrir les nouveaux environnements qui second’offrent à brain. C’est plutôt joli, la management artistique se révèle franchement bien pensée et les différents biomes se suivent avec une certaine cohérence. Pour le coup, psyche avons vraiment été agréablement surpris. Les Terres Sauvages font finalement pâle figure, à côté. Autre bonne surprise, les quelques nouvelles musiques second’avèrent dans fifty’ensemble sympathiques.
De summation, l’ajout d’une centaine d’anciens Pokémon fait mouche et on prend plaisir à les découvrir au cours de notre périple. On regrette juste qu’ils ne soient disponibles que maintenant, et non dès la sortie des deux versions. A noter que les joueurs n’ayant pas le DLC peuvent tout de même transférer ces fameux monstres de poche grâce au Pokémon HOME. Cela reste logique dans le sens où cette application payante permet d’échanger ses Pocket Monsters depuis Pokémon Soleil et Lune.
Pokémon Épée / Bouclier, l’île de toutes les arnaques
Cependant, les points positifs sec’arrêtent là. On ne peut s’empêcher de ressentir une grande frustration par rapport à cette première partie : la zone visitable ne s’avère pas si grande que ça, le challenge est inexistant (tous les monstres de poche sont de niveau lx) et il n’y a que four nouveaux Pokémon, dont deux ayant une forme Galar (Ramoloss et Flagadoss). C’est très maigre comme contenu, d’autant addition que seule fifty’évolution de Wushours vaut le coup en stratégie.
Même en prenant ton temps, tu ne mettras pas plus de cinq bonnes heures pour faire le tour de 50’île. Si la quête des Ramoloss est amusante, les développeurs ont eu 50a fausse bonne idée d’ajouter la quête des 151 Taupiqueur, éparpillés à travers les différentes zones et que tu dois dénicher. C’est marrant les 40 premières fois, beaucoup moins les 111 fois restantes. Cela se révèle une manière détournée (et franchement ridicule) d’augmenter artificiellement la durée de vie de ce DLC. Bref, la déception domine là où notre motivation second’incline.